Lisière par Irene Marcos Arispe

500,00 €

À la lisière d’un paysage sauvage de Camargue, intact, qui n’a pas été touché par l’homme, Irene Marcos Arispe capte l’essence silencieuse du monde végétal. C’est une scène à la fois dense et délicate : une végétation foisonnante, traversée d’un seul geste diagonal, une branche tombée qui organise le tumulte comme un vers organise la page.

Par l’usage d’un procédé photosensible sur papier, l’image n’est ni prise ni capturée : elle est révélée, comme si le paysage lui-même se déposait lentement sur la surface. Ce n’est pas tant une photographie qu’une empreinte, un souvenir de lumière et de matière.

Née à Madrid en 2000, installée à Arles après des études à l’ENSP, Irene inscrit son geste entre les savoir-faire anciens et une pensée contemporaine du paysage. Sa recherche, nourrie d’une perspective féministe, interroge notre manière de voir, de nommer, d’habiter le monde.

Ses oeuvres s’inscrivent dans une esthétique de l’effacement, où la beauté naît de l’attention aux détails surgissant de l’ombre. Inspirée par la pensée du Mingei, ce courant japonais qui valorise l’objet artisanal anonyme, et par “L’éloge de l’ombre” de Junichirō Tanizaki, Irene Marcos Arispe explore une forme de contemplation active. Par le biais de techniques lentes et exigeantes, comme la gravure, elle interroge notre rapport au paysage : non pas comme décor, mais comme sujet, espace de résistance et de mémoire.

Impression photosensible à l’encre noire sur papier 250 g

Pièce unique

20 x 29 cm (plaque de gravure), 33,5 x 43,5 cm (cadre)

“Lisière” a été présentée pour la première fois durant l’exposition “Éloge de l’ombre, a conversation piece”, organisée par Graziella Semerciyan et moi, dans ma maison, pour fêter ses 100 ans et les 100 ans du Mingei, du 1er au 21 juillet 2025.

Quatre oeuvres d’Irene Marcos Arispe ont été présentées : “Lisière”, “Jardin sauvage”, et deux gravures, “Champ de blé” et “Paysage de montagne.”

À la lisière d’un paysage sauvage de Camargue, intact, qui n’a pas été touché par l’homme, Irene Marcos Arispe capte l’essence silencieuse du monde végétal. C’est une scène à la fois dense et délicate : une végétation foisonnante, traversée d’un seul geste diagonal, une branche tombée qui organise le tumulte comme un vers organise la page.

Par l’usage d’un procédé photosensible sur papier, l’image n’est ni prise ni capturée : elle est révélée, comme si le paysage lui-même se déposait lentement sur la surface. Ce n’est pas tant une photographie qu’une empreinte, un souvenir de lumière et de matière.

Née à Madrid en 2000, installée à Arles après des études à l’ENSP, Irene inscrit son geste entre les savoir-faire anciens et une pensée contemporaine du paysage. Sa recherche, nourrie d’une perspective féministe, interroge notre manière de voir, de nommer, d’habiter le monde.

Ses oeuvres s’inscrivent dans une esthétique de l’effacement, où la beauté naît de l’attention aux détails surgissant de l’ombre. Inspirée par la pensée du Mingei, ce courant japonais qui valorise l’objet artisanal anonyme, et par “L’éloge de l’ombre” de Junichirō Tanizaki, Irene Marcos Arispe explore une forme de contemplation active. Par le biais de techniques lentes et exigeantes, comme la gravure, elle interroge notre rapport au paysage : non pas comme décor, mais comme sujet, espace de résistance et de mémoire.

Impression photosensible à l’encre noire sur papier 250 g

Pièce unique

20 x 29 cm (plaque de gravure), 33,5 x 43,5 cm (cadre)

“Lisière” a été présentée pour la première fois durant l’exposition “Éloge de l’ombre, a conversation piece”, organisée par Graziella Semerciyan et moi, dans ma maison, pour fêter ses 100 ans et les 100 ans du Mingei, du 1er au 21 juillet 2025.

Quatre oeuvres d’Irene Marcos Arispe ont été présentées : “Lisière”, “Jardin sauvage”, et deux gravures, “Champ de blé” et “Paysage de montagne.”