


Dé Joue ou Perds par Claude Closky
Claude Closky explore depuis 25 ans les processus minimaux de la pensée et de la perception, en utilisant le dessin, en créant ou en s’appropriant des images, des objets, des phrases, des mots, des actions, ou encore en réalisant des vidéos. En développant des paradoxes, en feignant la naïveté — ou les deux à la fois — il parvient souvent à révéler l’instabilité de la pensée ordinaire, que nous considérons d’ordinaire comme non problématique.
Pour We Do Not Work Alone, il a ainsi créé un dé à deux faces seulement : Jouez ou Perdu. Jouez est formulé au présent (il ne dit pas joué), tandis que Perdu est au passé. Autrement dit : on ne sait que l’on a perdu qu’une fois la partie terminée. Tenter sa chance revient à espérer obtenir une nouvelle occasion de jouer.
Mais les probabilités ne sont pas égales : la chance de continuer à jouer est cinq fois plus élevée que celle de perdre. L’œuvre est ambivalente : pessimiste (on ne peut pas gagner), mais en même temps optimiste (il est en réalité assez difficile de perdre).
Et comme perdre devient rare, une série de Perdu apparaît plus volontiers comme un manque de chance que comme une simple coïncidence — révélant ainsi à quel point nous sommes pris dans les filets de nos croyances irrationnelles.
Plastique gravé.
Dimensions : 1,6 x 1,6 x 1,6 cm.
Rupture de stock chez We Do Not Work Alone. Il ne me reste que 2 exemplaires.
Claude Closky explore depuis 25 ans les processus minimaux de la pensée et de la perception, en utilisant le dessin, en créant ou en s’appropriant des images, des objets, des phrases, des mots, des actions, ou encore en réalisant des vidéos. En développant des paradoxes, en feignant la naïveté — ou les deux à la fois — il parvient souvent à révéler l’instabilité de la pensée ordinaire, que nous considérons d’ordinaire comme non problématique.
Pour We Do Not Work Alone, il a ainsi créé un dé à deux faces seulement : Jouez ou Perdu. Jouez est formulé au présent (il ne dit pas joué), tandis que Perdu est au passé. Autrement dit : on ne sait que l’on a perdu qu’une fois la partie terminée. Tenter sa chance revient à espérer obtenir une nouvelle occasion de jouer.
Mais les probabilités ne sont pas égales : la chance de continuer à jouer est cinq fois plus élevée que celle de perdre. L’œuvre est ambivalente : pessimiste (on ne peut pas gagner), mais en même temps optimiste (il est en réalité assez difficile de perdre).
Et comme perdre devient rare, une série de Perdu apparaît plus volontiers comme un manque de chance que comme une simple coïncidence — révélant ainsi à quel point nous sommes pris dans les filets de nos croyances irrationnelles.
Plastique gravé.
Dimensions : 1,6 x 1,6 x 1,6 cm.
Rupture de stock chez We Do Not Work Alone. Il ne me reste que 2 exemplaires.